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Avis série animée My Dress-Up Darling saison 1

C’est grâce au magazine Young Gangan de Square Enix, qui regroupe des mangas seinen, que les lecteurs ont découvert My Dress-Up Darling. Il faut le dire tout de suite : il n’existe pas tant de mangas abordant la thématique du cosplay (par exemple Secret Innocent World, de 2018, si vous en cherchez). On comprend donc facilement l’engouement qui s’est développé autour de la série.

Enfin, ça, c’est au premier abord. Car si le manga rencontre autant de succès, c’est clairement pour une deuxième raison qui me paraît évidente : le ecchi. Oui, les personnages féminins sont souvent peu vêtus, placés dans des positions suggestives, et les allusions sont tout sauf subtiles.

SI j’avais aimé Dandadan ce n’était pas que pour le duo de personnage, mais l’histoire qui s’en découle. Quand j’ai lu le synopsis de My Dress-Up Darling je m’étais dit « oui pourquoi pas, mais de la couture… mouais« . Malgré tout, j’aime la découverte, alors je me suis lancée la saison 1.

Il s’agissait bien de couture, de cosplay comme je l’ai dit plus haut. Ce n’est pas quelque chose qui m’attire, même si regarder le travail des créateurs ne me déplait pas. Cependant, il y avait un détail qui me donnait envie d’avancer dans les épisodes : la relation entre Gojô et Marine. Évidemment, chacun découvre le monde de l’autre et vous vous doutez que ça occasionne des rapprochements.

Les deux commettent des gaffes, les situations sont cocasses et font souvent sourire. Au-delà de ça, l’anime révèle des morales comme l’acceptation de soi, les genres, la différence (notamment dans les rêves, les loisirs), etc. Je ne dirais pas que j’aime My Dress-Up darling autant que Dandadan car il reste assez cliché, mais j’ai quand même passé un bon moment.

Verdict:

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Karma Shachou

Joueuse de RPG avant tout, elle a pourtant commencé avec Tetris sur les WC. La passion (geek, pas les WC) a persisté sur un blog en 2012 avec rien ni personne. Puis, elle a grandi avec de nombreux partenariats et quelques larbins en intérim. Touche à tout, jeux indé/AAA, sauf le sport, les FPS et les MMO (à part SWTOR, une religion de jeunesse), elle poursuit sa route vers la gloire et s'étend même dans d'autres domaines ! Par contre, il n'y a plus de place chez elle : ah les collections !!!

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