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Test Demon Slayer Kimetsu no Yaiba The Hinokami Chronicles 2

Côté scénario, Demon Slayer: Kimetsu no Yaiba – The Hinokami Chronicles 2 se déroule quatre mois après l’arc du Train de l’Infini. Vous allez incarner Kamado Tanjirô pour faire face aux démons lors de moments clés des arcs du Quartier des plaisirs, du Village des forgerons et de l’Entraînement des piliers.

Autant vous prévenir : même si les événements en jeu sont « accélérés », si vous n’êtes pas à jour dans le manga ou l’anime, le jeu risque de vous spoiler. À moins que cela ne vous dérange pas, je vous le déconseille. Si c’est le cas, vous pouvez consulter le mode intitulé La voix du pourfendeur qui vous fera vivre de manière condensée les évènements passés.

Après l’introduction, le prologue du jeu sert principalement à se familiariser avec les commandes de base : sauter, déplacer la caméra, etc. Ce qui nous intéresse surtout dans le menu du jeu, ce sont les sections Équipement et Maîtrise. La section Archive, quant à elle, regroupe tout ce qui est purement cosmétique ou bonus, comme les tenues, les tampons, les musiques… pas vitale, mais du plus toujours bon à prendre.

Pour parler de la Boutique de points Kimetsu, elle permet de dépenser les points du même nom pour acheter de l’équipement, des tenues de combat, des répliques et des cadres ID de pourfendeur. Ces points sont représentés par des flammèches jaunes scintillantes et sont éparpillés un peu partout en chemin. Elles n’apparaissent pas sur la map et heureusement, car les items important eux le sont. Le travail est déjà bien mâché.

La progression dans l’histoire ce fait de manière classique en se rendant à un point déclencheur symbolisé par un drapeau rouge ou en discutant avec un personnage précis. Les quêtes secondaires sont signifiées par un drapeau bleu. Celles-ci rapportent des items.

Si le mode Histoire ne vous attire pas, vous pouvez passer au Mode Vs pour vous battre hors ligne. Bien sûr, vous avez aussi des Match en ligne et si vous ne vous sentez pas prêt, choisissez Parcours d’entraînement pour suivre un entraînement avec les Piliers.

Il faut revenir sur le stuff et les possibilités. Vous avez donc 3 sous-menus dans Équipement : Équipement en mode Histoire, Équipement de pourfendeur et Équipement de démon.

Les pièces d’équipement sont des objets à utiliser qui s’insère pour le combat. Elles procurent divers avantages, comme un bonus d’attaque ou de défense, une augmentation de la résistance au poison ou une lente régénération de vie. Il y en a beaucoup à découvrir et équiper, mais il faudra faire des choix car vous pouvez en équiper que 3.

En combat, comme dans tous les jeux du genre, la barre verte est celle des HP. La bleue quant à elle correspond à la jauge de technique. Le but est de faire des combos et de les prolonger. On peut faire appel au personnage annexe pour qu’il nous aide en combat. Évidemment, le personnage ne reste pas indéfiniment dans la partie, car il y a une jauge de soutien. À vous de bien jauger les moments opportuns.

Le personnage annexe peut également utiliser des évasions d’urgences. Ce n’est pas pour partir, mais pour demander au perso d’aider quand on encaisse une attaque. L’autre intérêt d’avoir un tendem, c’est que certains des personnages sont compatibles pour déchaîner des Doubles ultimes dévastateurs contre leurs adversaires.

Pour le gameplay, il n’y a pas 36 mille combinaisons à retenir. Ce sont les mêmes touches à presser en appui court ou long et au bon moment. Le placement compte, selon qu’on est au sol ou dans les airs, plus un dash et une garde.

Pour terminer sur cette partie, je tiens à souligner que les combats sont fluides, l’explosion d’images et de couleurs font clairement leur effet sur la rétine. On ne peut qu’apprécier voir se déchainer les techniques et les ultimes des personnages.

Je pense que vous êtes beaucoup à avoir cherché le moment où j’allais parler des personnages. Hey bien, c’est ici. J’ai cru comprendre que le premier opus avait déçu les joueurs en proposant un modeste roaster. Je pense que Sega vous a entendu, car là, c’est vraiment impressionnant ! Vous avez plus de 40 personnages jouables à incarner dont les neuf Piliers.

Plus on joue avec un personnage, plus on gagne de la Maitrise (il en va de même avec le personnage annexe utilisé). Lorsque l’on atteint certains niveaux de maitrise, on reçoit une récompense. Il y a de quoi essayer, de quoi trouver son préféré et si on est un peu masochiste sur les bords, les monter tous. De plus, détail qui n’est pas des moindres, un Tanjiro n’aura par exemple pas les mêmes techniques que les autres.

Notez qu’à la fin d’un chapitre, le jeu vous attribuera une note, S étant la meilleure. Une manière de placer la rejouabilité du titre.

Il y a deux sortes de cartes pour nous aider à nous orienter : la mini-map et la carte dans son entièreté. La mini-map reste affichée et indique le terrain en temps réel. Détail que je ne trouve pas d’une grande utilité car les chemins sont assez linéaires et tout est quasiment affiché sur la carte, mais en exploration, Tanjiro peut remonter une piste grâce à la Détection d’odeur.

Lors des quêtes annexes, Tanjiro peut utiliser sa capacité spéciale, l’Essence émotionnelle qui lui permet de percevoir les émotions de ses interlocuteurs. Bien sûr, chaque couleur est liée à une émotion précise qui donne ainsi un indice pour résoudre la demande. Je ne me trompais pas de personne pendant ces quêtes, mais je ne suis pas sûre que se tromper change quelque chose. Du coup, encore une fois, je ne suis pas sûre que ce soit utile.

NOTE: 16/20 – Franchement, hormis la linéarité et l’inutilité de certaines actions de Tanjiro en mode exploration, je ne vois pas pourquoi je parlerai en mal de Demon Slayer Kimetsu no Yaiba The Hinokami Chronicles 2.

Vous voulez du fan service ? Il y en a. Vous voulez revivre les grands moments du manga ? C’est le cas. Vous souhaitiez incarner une multitude de personnages ? C’est désormais possible.

On sent que le PvE essait de proposer plus alors que nous sommes sur un jeu d’arène en 3D. Et c’est ça, DSKNYTHC2 n’est pas un jeu d’aventure, c’est un jeu de combat. J’ai pris plaisir, j’ai joué volontier, je dis OUI.

💎 Review réalisée à partir d’une version presse PS5.

Points Positifs

● Vivre son manga/anime.
● Le roaster conséquent.
● La volonté de proposer des choses !
● Agréable visuellement.

Points Négatifs

● Exploration pas très palpitante et linéaire.
● Quêtes annexes faciles et…
● …où les capacités de Tanjiro ne sont pas utiles.

Informations

Sortie consoles: Le 05 aout 2025
Langue: Texte multi
PEGI: 16
Dispo: Switch, PS5/4, One/series, Steam
Éditeur: Sega
Développeur: CyberConnect2
Mode: Solo, multi

Un autre test de jeu tiré de manga ici

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Karma Shachou

Joueuse de RPG avant tout, elle a pourtant commencé avec Tetris sur les WC. La passion (geek, pas les WC) a persisté sur un blog en 2012 avec rien ni personne. Puis, elle a grandi avec de nombreux partenariats et quelques larbins en intérim. Touche à tout, jeux indé/AAA, sauf le sport, les FPS et les MMO (à part SWTOR, une religion de jeunesse), elle poursuit sa route vers la gloire et s'étend même dans d'autres domaines ! Par contre, il n'y a plus de place chez elle : ah les collections !!!

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