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Test Pilo and the Holobook : la collectionnite aiguë !

Pilo and the Holobook va nous raconter l’histoire de Pilo, un petit renard au caractère taquin et curieux qui souhaite partir en exploration et en apprendre plus sur l’univers qui l’entoure. Il sera accompagné par un scientifique adepte d’inventions en tout genre qui l’a recueilli dès son plus jeune âge, le Professeur Chiron.

Ce dernier a pour objectif de répertorier toutes les belles choses que comporte l’univers XOP-624 et qui c’est qui va s’y coller ? Pilo bien évidemment !

L’aventure débute dans le laboratoire du Professeur Chiron qui nous confie avoir terminé sa dernière invention géniale qui va nous aider tout au long de notre quête spatiale, j’ai nommé le Holowbook. Cet artefact ne laisse pas vraiment de mystère concernant la traduction, cette encyclopédie créée par le Professeur va nous permettre de répertorier tous les objets et environnement autour de vous, et quand je dis tout, c’est absolument tout !

Pour les ajouter, il faudra donc scanner tout ce qui est possible de scanner grâce à ce Holobook pour en créer une version sous forme de sticker à coller dans les différentes pages du livre. Pour le faire fonctionner et apprendre à le maitriser, le professeur nous dirige dans le jardin ou un grand terrain de jeu s’ouvre à nous. Chaise, plante, abeilles ou encore rocher, tout vas y passer.

Pour accomplir sa quête, Pilo devra donc partir sur quatre planètes à explorer pour répertorier tout dans son beau livre ou chacune d’elles a une histoire, un style et une ambiance propre à chacune. Malheureusement, une étrange substance violette hautement toxique bloquant certaine zone, contaminant certains personnages, et ayant même forcé toute une planète à déserter va nous barrer la route.

Il faudra donc enquêter sur ce qu’est réellement ce poison tout en faisant la découverte de plusieurs personnages tous plus colorés les un que les autres. Malheureusement, aucun rebondissement concernant l’histoire intervient, ce qui donne un jeu assez plat. Seulement trois personnages secondaires vous donneront une quête secondaire qui se réalise en quelques minutes, viendrons ajouter un petit bonus à l’histoire, mais sans trop vraiment apporter un réel « wow ».

On est sur un jeu vraiment très simple à jouer. Il n’y a que trois actions possibles avec Pilo: se déplacer, scanner grâce au Holobook et interagir avec certains objets (lorsqu’une interaction est possible, la touche concernée apparaît sur l’objet).

Et deux actions possibles lorsque l’encyclopédie est ouverte : tourner les pages afin de le feuilleter et décoller les stickers pour les replacer. L’optimisation de la place dans les pages va être primordiale pour avoir un visu de tous les stickers récupérés dans chaque lieu, donc soyez organisé !

Le dialogue avec les personnages se fait quasiment tout seul, il y a juste à les approcher pour engager la conversation lorsque c’est nécessaire.

Comme je le disais un peu plus haut, quatre planètes seront à explorer et à scanner pour remplir le Holobook. Une double-page correspondra à une planète, et sur ces pages nous auront certaines informations : dans un premier temps, les premiers autocollants que nous scannerons feront augmenter une jauge autour d’un maxi sticker. Un sticker vous donnera un point dans cette dite jauge.

Au début, on se dit « mais c’est que dalle, on va y passer l’année ! ». On se rassure, nous avons le droit à des stickers « spéciaux » qui, eux, valent quatre points pour la jauge. Une fois cette jauge complétée à 100%, le maxi stickers se débloque et nous donne un sticker planétaire, qui signifie que nous avons soit trouvé tous les stickers spéciaux, soit tous les stickers de ce monde. Le nombre d’objets à scanner sur chaque planète apparaîtra en bas de page, ce qui permet de voir sa progression et savoir combien il en reste à chercher.

Le but étant de scanner chaque lieu à 100%, il faut quand même prendre le temps de passer dans chaque recoin, même les plus insignifiants !

Nous allons donc avoir droit à quelques petites énigmes. Cependant, attention, même si le jeu est relativement simple, certain puzzle vont nous donner du fil à retordre, il va donc falloir se creuser un peu les méninges pour parvenir à les résoudre pour pouvoir avancer dans l’histoire ! Et pas d’aide en plus, si vous êtes bloqué, et bien chercher encore, car aucun personnage ne vous aidera !

Niveau graphisme, c’est un jeu qui est vraiment très beau ! Des effets lumineux, beaucoup de couleurs principalement très vives, des détails très simples et une fluidité au top !

Je vous racontais un peu plus haut que les planètes avaient toutes un style différent et c’est justement grâce aux couleurs, ses effets de lumières plus ou moins éclaircit qui renforce l’immersion dans le jeu et retranscrit une ambiance totalement différente de chaque lieu que l’on visite.

Personnellement, les graphismes me font un peu penser aux graphismes d’un dessin animé colorié avec des feutres. La bande son est quant à elle aussi à souligner, car elle est très douce, avec un rythme lent, ce qui rend le jeu encore plus zen et agréable. Elle participe à renforcer l’identité de chaque lieu ainsi que l’ambiance tout comme avec les graphismes.

Points Positifs

● Personnage principal extrêmement attachant.
● Graphismes géniaux et des musiques agréables.
● Des trophées plutôt simples à obtenir.
● Un jeu vraiment chill sans prise de tête…

Points Négatifs

● … mais trop court !
● Une fin avec laquelle on reste sur sa faim.
● Quelques bugs.

Informations

Sortie: Le 16 avril 2025
Langue: Multiples
PEGI: 3
Dispo: Switch, PS5, Series, Steam
Éditeur: RedDeerGames
Développeur: Mudita Games
Mode: Solo
Durée: 2h
Durée: 3h

Un autre test de jeu plein de couleurs ici

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Tiduth

Un CV long comme le bras de Luffy, on peut notamment retrouver: joueur de blitzball à Zanarkand, voyageur des terres d’Hyrule, maître de la ligue sur la région de Kanto, tueur de zombie à Racoon city, maîtrise parfaite du kamehameha ainsi que du hadoken, sauveur de New York avec Captain America, a porté en direction du Mordor Frodon 6 min sur son dos avant de le lâcher dans un fossé à force de l’entendre se plaindre et devenu maître assassin dans les rues de Florence.

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