Avis sur la série animée humoristique Centaurworld
Le soir, au lit, ce que j’aime, c’est regarder une série marrante. Que ce soit en live ou en anime, parce que ça détend et ça fait du bien pour se vider l’esprit.
C’est comme ça que j’ai mis la main sur CENTAURWORLD en parcourant Netflix.
Je vous avouerai que lorsque j’ai découvert que ça chantait, j’étais un peu moins enthousiaste, mais bordel ce que j’ai bien fait de continuer! Je n’ai fait que de rigoler d’épisode en épisode.
Cependant, Centaurworld ce n’est pas que drôle, c’est joli, c’est original, c’est plein de thématiques.
C’est pourquoi, je me dois de vous en parler. La série est américaine, classée dans comédie musicale animée, et on la doit à Megan Nicole Dong (Dragons, Capitaine Superslip…).
Malheureusement, il n’y a que deux saisons, mais il y a une vraie fin.
Synopsis
📺 Dans une terre déchirée par la guerre, un cheval de guerre nommé Jument et son cavalier Rebelle trouvent leur village réduit en cendres après leur retour d’une mission pour trouver la clé de la victoire, un objet mystérieux connu sous le nom d’Artefact.
Lorsque l’armée adverse d’envahisseurs les attaque, la cavalière et le cheval atteignent une falaise, mais Jument tombe avec l’Artefact.
C’est ainsi que Jument atterrit dans un monde coloré rempli d’étranges centaures de toutes formes et tailles: Centaurworld. Là-bas, elle y fait la connaissance de Wammawink, Zulius, Durpleton, Glendale et Ched, mais sa priorité numéro 1, c’est de retrouver sa Rebelle bien aimée.
Sauf que pour rentrer dans son monde, il va lui falloir réunir tous les morceaux de l’Artefact, et avec le troupeau qui la colle, vous devinerez que la quête ne va pas être simple!
Quand Centaurworld commence, on découvre une série un peu sombre, sur fond dramatique (guerre, morts, famine) aux traits de dessins nets, quand tout à coup, on bascule dans un autre aspect de la série, celui qui deviendra le dominant: la comédie, le mignon, le loufoque aux traits de dessins ronds.
C’est un peu comme si les Petits Poneys avaient fait des choses pas très catholiques avec les personnages de Bob l’Éponge et de vrais chanteurs de Broadway. Car oui, les chansons sont interprétées par de réels chanteurs de Broadway.
Chaque personnage à son style musical, parfois, c’est toute une race qui a son style, ce qui rend la série très dynamique et variée. De plus, les chansons ne sont pas là pour combler un vide, elles remplacent des dialogues et font ainsi avancer l’histoire. Pour finir, si vous regardez la série en version française, vous aurez l’immense joie d’entendre les chansons en français. Je ne rajouterai rien sur l’histoire, mais sachez que l’adorable du monde de Centaurworld qui contraste avec celui des humains, cache bien son lot de « négatif » lui aussi.
Si en vérité les thématiques sont sombres, voir graves, heureusement l’humour fait passer le tout dans la joie et les sourires, à condition de faire attention aux dialogues, et de ne pas être rebuté par quelques blagues « caca prout ». Personnellement, j’ai rigolé du début à la fin, bon non, pas à la fin, car j’étais triste que ça finisse.
Pourquoi? Déjà, à commencer par la situation première: Jument dépareille totalement dans le monde de Centaurworld et on découvre en même temps toutes les étrangetés qu’il renferme, comme devoir regarder avant de s’asseoir, ou les coutumes et traditions (chanter, Rigole-crêpes, la cour de justice…).
Ensuite, vient les personnages principaux qui ont tous une personnalité très particulière et je ne vous parle même pas de leurs pouvoirs (Glendel a un portail bidou)! Car oui, à Centaurworld on a des pouvoirs. Mais ce qui est géniale, c’est que même les personnages secondaires sont marquants, croyez moi, quand vous rencontrerez Blaise, vous répéterez sans le vouloir sa phrase fétiche à chaque fois qu’il reviendra à l’écran!
Les épisodes défilent avec leurs lots d’intrigues et de rebondissements, puis vient la saison 2 qui apporte plus de sombre à l’histoire. Il y a une vraie progression et même si on se doute de quelques détails, certains sont en revanche plus difficiles à voir arriver! J’ai tellement envie de le dire, mais je suis fidèle à mes principes, ne vous inquiétez pas, je ne dirai rien. Le méchant de la série est intéressant et charismatique, son design est vraiment cool, il me fait penser à du Ghibli.
Conclusion
J‘ai passé un très bon moment dans l’univers de Centaurworld, j’aimerais tellement qu’il y ait plus de séries de ce genre. Je vous la conseille pour votre dose de bonne humeur. Je suis contente que ce soit une série terminée, je veux dire avec une vraie fin et non annulée, mais je suis comme beaucoup, j’aimerais une nouvelle intrigue pour une saison 3.
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